Demande [Sensu]

Pseudo :

Forces :

Faiblesse :

Qu'aimeriez-vous travailler dans ce Portrait-là ?? :

Donc donc donc.... ton point fort, c'est les sentiments, mais le RP te parait trop court.
Je te propose d'eux solution. Soit on se fait un RP Made in Roméo and Juliette, avec de la romance ou un Rp plus mission, enquête suspence! avec beaucoup de reflexion!

Bien,
Nous allons démarrer le rp d’entrainement. Je te lance une thématique. J’aimerais voir en ton premier post comment tu rp. Ainsi, je te dirai les différents points qui vont et ne vont pas.

Code:: Nous sommes au début de la seconde guerre mondiale, dans une ville Bavaroise. Tu as été invité à une fête organisé dans le manoir d’une grande famille bourgeoise. Tu te trouves dans la salle de bal, duquel les invités discutent aimablement. C’est une fête où peut de gens dansent. Cocktail, amuse gueule et alcool y sont à volonté. C’est plus un regroupement pour échanger l’avis sur des peintures, les préférés du Führer dit-on. Mais aussi pour flatter les égos du fondateur de l’empire. Ton but sera de récolter le plus d’information, sans qu’on sache que tu es un espion. Il ne faut qu’aucune personne ne te suspecte et que la rumeur se repende dans la salle.

Voyons voir de quoi tu es capable. =)

Habillée de sa plus belle robe, d'un rose pale, tombant à ses chevilles rehaussées de talons noirs, elle passe sous cette arche immense. Tellement immense que l'on se sent une fourmi, qu'on a l'impression de n'être rien. Là alors apparait notre place réelle, trop souvent idéalisée à cause de l'égo, cet ego qui prend tous les Hommes à la gorge, un jour. Un ego qui les transformes en bête, en sauvages. Ses yeux ne la quittent pas, cette arche recouvert de roses. Elle reste impressionnant, elle le restera toujours. Tout du moins, tant qu'elle existera.

Ses talons claquent sur le riche sol pavé. Elle arrive à l'heure, mais vers les dernier. Rares sont les invités qui se pressent derrière elle pour pénétrer dans le manoir de la famille Hugosky, dans cette petite ville bavaroise. Mais quelque chose la hante, la trouble, la perturbe. La Seconde Guerre Mondiale a commencée, alors pourquoi être ici à faire la fête alors qu'ils pourraient aller soutenir leur pays ? Après tout, la jeune femme rousse n'a jamais aimé l'Allemagne. Ça, heureusement, personne ne le sait. Elle n'a jamais parlé de sa vie privée, de ses pensées, à qui que ce soit. Personne ne peut deviner quelles pensées cache cette adolescente à peine adulte sous son sourire joyeux. Sous un sourire enchanteur.

Son sac à main se balance au rythme de ses pas, la blancheur de sa peau ressort de plus en plus, à la lumière. Elle accélère légèrement le pas, souriante. Elle pense à cette mission qui lui a été confiée. Par la France. Il ne lui est pas difficile de cacher ce qu'elle pense, c'est d'ailleurs pour cela qu'elle était parfaite pour cet ordre. Arrivée devant la haute porte du manoir, elle pénètre sans y jeter un oeil. Elle a l'habitude de s'incruster dans de telles soirées. Pour récolter des informations.

Le dos bien droit, son corps redressé, sa démarche impérieuse, elle fend la foule et l'observe. Elle peut déjà commencer à parler aux personnes qu'elle connait. Elles ont confiance en elle, cette jeune rousse aux multiples taches de rousseurs et aux yeux bleus. Aux yeux bleus ? Eh bien oui, voilà qui la rend différente des autres rousses, qui ont presque toutes les yeux vers. C'est quelque chose qui lui a déjà attiré des ennuis.

Elle aperçoit Victor, se dirige vers lui, lui frôle le bras et sourit. Victor... Ce si vieil ami qui ne lui a jamais refusé de l'aide. Au fond, elle s'en veut de le trahir mais oubli cette culpabilité en se disant que c'est pour le bien de tous. Son sourire toujours accroché sur ses lèvres, révélant ses dents d'un blancheur encore plus éclatante que sa peau, elle se mit à parler de cette voix si féminine qui lui allait si bien.

"Salut Vic'. Comment vas-tu aujourd'hui ?"

La conversation continue sur ce thème, la pluie et le beau temps, la vie de tous les jours avant qu'elle finisse par lâcher :

"Le Führer a bon gout en matière de peinture n'est-ce pas ? Au fait, à ce qu'il parait il compte lancer l'offensive le mois prochain. N'est-ce pas trop tôt ? Sommes-nous réellement prêt à cela ?"

Sur son visage se lit à présent l'inquiétude. Les autres personnes n'y voient que de l'amour pour leur pays. Si elle ne modèle pas l'expression de son visage, personne ne la croira. Heureusement qu'elle apprit à faire cela à la perfection durant son enfance.

Elle continue encore un peu à parler, s'excuse, le salue et s'en va chercher d'autres amis, d'autres "victimes" peut-on dire. Une question par-ci, une question par-là. Le

Führer sera-t-il la ce soir ? D'après les confessions de certains bonhomme, il ne peut se libérer ce soir, à cause d'une réunion militaire. Une mine déçue se peint sur le visage de la jeune rousse. Ici, elle dispose d'une bonne réputation, ce qui porte les différentes personnes à se confier.

Elle part parler à d'autres personne et à la fin de la soirée, elle a parlé à plus d'une quinzaine de personnes. Elle s'en va dans les derniers, satisfaite de son travail, soulagée aussi. Voilà une tache de moins à faire, des informations de plus pour son patron. Ses talons claquent à nouveau sur le pavé, elle passe à nouveau sous l'arche, se dirige vers les voitures. Une mercedes noire aux vitres feutrées s'arrête devant elle, elle grimpe sans un regard en arrière.

Affalée sur la banquette arrière, elle se laisse aller à son rire hystérique habituel. Il est vrai qu'elle aime mentir mais parfois la peau devient trop étroite et le cœur a besoin de décompressé, comme en ce moment. La vitre qui sépare l'avant et l'arrière de la voiture se baisse, un regard gris apparait, la fixe. Et le cœur de la jeune fille fait un bond. Ces yeux arrêteront-ils un jour de lui faire cet effet. Plusieurs nuits, plusieurs moments lui reviennent en mémoire avant de disparaitre.

"Alors bonne soirée rouquine ? T'as des infos intéressantes ?"

Rouquine, tout le monde aime à la surnommer comme ça. Elle acquiesce, sourit et se penche en avant.

"De très bonnes meme."

Le jeune homme sourit, lui demande qu'elles sont-elles. L'adolescente lui répond d'un hochement négatif de tete.

"Tu ne le sauras pas avant le patron."

Elle se penche un peu plus en avant, vole un baiser au brun et ferme la vitre. Ce dernier se retourne le sourire aux lèvres, démarre. La jeune fille derrière, quant à elle, repense à ce geste instinctif. Son coeur tambourine encore dans sa poitrine mais elle essaie de le mettre de coté, prend son carnet et son stylo dans son sac. Elle marque tout ce qui est si important à leurs yeux, à tous.

Alors, comme je vois, en effet, tu as un talent pour qu’on ait une idée du moral de ton personnage. Après, tu m’as demandé une aide pour améliorer le côté descriptif. Alors je vais mettre de côté ton point fort et m’attacher au point faible.

Pour moi la description de l’arche est un excellent début, mais je ne vois aucune description de la bâtisse ou de la salle de bal.

Tu ne décris pas non plus son ami Victor, on ignore à quoi il ressemble, ni quelle expression il tire. Pourquoi tu conclus trop la partit de discussion. Ça aurait pu être un point intéressant à exploiter. Après tout, c’est de la que démarre sa mission ! Essayer d’attacher d’avantage sa confiance à l’autre, jusqu’à tirer des éléments.

Peut être que tu aurais pu user du charme de ton personnage. Si le Rp débutait, je pense qu’il faudrait attacher plus d’importance sur sa manière de charmer des gens, d’obtenir les informations. Sur la description de l’atmosphère, du lieu, des expressions des gens. Comment réagit un voisin ou une voisine , qui aurait tendu l’oreille. Si des SS passaient dans les groupes pour vérifier attentivement ce qui se passe, se qui se dit.

Par exemple, avec l’un, elle le fait trop boire pour qu’il puisse résister. En décrivant bien sur la manière de lui faire accepter l’alcool. Comment il était au début, puis au fur et à mesure. Par la suite, comment elle a fait pour brouiller toute piste

J’avais d’ailleurs parlé des tableaux. Tu aurais peut être pu en décrire quelques uns. Ça aurait été un détail supplémentaire ou un moyen d’appâter une autre proie.

Tu as une solution, cette tu réécris cette scène en suivant mes indications, soit je te donne la suite de l’événement et tu essayes d’améliorer.

Très bien.

Code:: Vous êtes toujours dans la voiture. Toutefois, le conducteur semble nerveux. Il s'avère que quelques SS aient décidé de mener une petite enquête. Ils étaient présent dans le bal et écoutaient en douce les discussions. L'un d'entre eux d'ailleurs, n'est autre qu'une personne ayant sympathisé avec vous. ils vous pourchassent, jusqu'à vous arrêter dans le coin d'un boulevard. Une discussion commence. Vous allez devoir faire attention à vos propos, car il semblerait qu'ils n'attachent aucune importance à votre personne.

Il n'y a aucun problème, j'ai tout mon temps, je peux donc patienter.

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